Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En l'an 30 avant J.-C., avec la mort de Cléopâtre, l'Egypte perd sa souveraineté et passe sous domination romaine. Une nouvelle phase débute, qui...
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En l'an 30 avant J.-C., avec la mort de Cléopâtre, l'Egypte perd sa souveraineté et passe sous domination romaine. Une nouvelle phase débute, qui va durer quatre siècles et se clore par l'assujettissement de l'Egypte à Byzance, en même temps que triomphe le christianisme.
Méprisée jusqu'à une période récente, l'Egypte romaine commence à être reconnue. Les fameux portraits dits " du Fayoum " ont contribué à mettre en lumière cette civilisation originale et attachante, où deux cultures -égyptienne et gréco-romaine- se côtoient ou, plutôt, se suprposent sans jamais se fondre.
Ces émouvants portraits accompagnaient le défunt dans la tombe. Ils sont emblématiques de l'art funéraire de cette époque, tel que l'illustre l'exposition présentée au musée du Louvre : la momie est habillée de parures plus modestes, plus fragiles qu'au temps des pharaons, mais les anciens savoir-faire persistent, transformant ces humbles matériaux en matières précieuses. Linceuls en toile de lin, peintures sur bois, masques en plâtre, cartonnages, stèles sont les témoins d'un art vivant et coloré, où l'accent est mis sur la personnalité du défunt, dans un style tout en concision. Peut-être est-ce leur parfaite simplicité qui rapproche si facilement de nous ces très anciens portraits...