Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Des son plus jeune âge la mécanique dirigera ses pas... L'enfant provincial découvre à 14 ans, à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1889 à...
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Résumé
Des son plus jeune âge la mécanique dirigera ses pas... L'enfant provincial découvre à 14 ans, à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1889 à Paris, le moteur à essence de pétrole de Gottlieb
Daimler. Quelques années plus tard, il reçoit dans son atelier de Dijon la visite de Rudolf Diesel qui assiste à un essai de moteur. Il prendra son essor en même temps que l'aviation prenait son envol en 1908-1910 grâce au président cofondateur de l'Aéro-club de France,
l'Américain Ernest Archdeacon. Un stand P. Clerget participa à la deuxième exposition de locomotion aérienne et de navigation automobile de Paris tenue au Grand Palais en octobre 1910 et à Londres au quatrième salon de Grande-Bretagne en février 1913 ! Fournisseur de l'armée dès 1912, plus de vingt mille exemplaires du moteur 9 B seront produits entre 1915 et 1918. Malgré ce succès, l'entreprise Clerget-Blin ne survivra pas à l'arrêt complet du développement de l'aviation militaire dans les années d'après-guerre. Pierre Clerget, redevenu simple ingénieur-chercheur au sein du STAé, mettra au point le premier moteur d'avion Diesel du monde et ne cessera jamais de créer. Il sera nommé membre de l'Institute of the Aeronautical Science of New York en 1933. Son moteur 14 F2 monté sur un
Potez 25 établira le 4 octobre 1934, puis le 6 décembre 1937, le record mondial d'altitude pour moteur à huile lourde. Or, à l'époque, la France préféra investir massivement dans
d'autres domaines que l'aviation et la motorisation ; une opportunité gâchée alors que l'on disposait des hommes compétents qui
auraient grandement contribué à éviter le désastre de 1940.