Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En 1962, Arrabal publie Cinq récits paniques dans la
revue La Brèche que dirige André Breton. Pour la première fois, on imprime le mot panique en...
Lire la suite
En 1962, Arrabal publie Cinq récits paniques dans la
revue La Brèche que dirige André Breton. Pour la première fois, on imprime le mot panique en lui donnant le sens que Jodorowsky, Arrabal et Topor lui inventent. Un "mot d'usage semi-privé ", car les trois complices ne désirent fonder ni un groupe ni une école artistique. Mais ce n'est qu'un début. En 1973, avec la complicité de ses amis et de quelques autres, Arrabal publie Le Panique, depuis lors introuvable, et qui attendait de nouveaux lecteurs. Aujourd'hui comme hier, cette nouvelle édition, suivie du Deuxième manifeste panique inédit et d'un entretien avec Arrabal souffle sur les poussières des pensées recuites et des arts léthargiques. Ici éclatent l'humour, l'irrévérence, la provocation... Un mélange détonnant où se mêlent les couleurs du surréalisme, des parfums situationnistes et de joyeuses effluves anarchistes. Un butin de contrebande où scintillent les mots en liberté, et par-dessus tout l'amour de la vie.