Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'opinion publique et la politique extérieure, de 1915 à 1940, entretiennent des relations indissociables. La guerre, qui cesse d'être une technique...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 8 octobre
En librairie
Résumé
L'opinion publique et la politique extérieure, de 1915 à 1940, entretiennent des relations indissociables. La guerre, qui cesse d'être une technique de règlement des conflits d'intérêts pour devenir un affrontement radical entre deux valeurs réputées hétérogènes, y est pour beaucoup. Mais le développement de la presse, la multiplication des modes d'information, la mondialisation des échanges, la comparaison des systèmes institutionnels, la quête collective du progrès et du bonheur au travers d'idéologies messianiques et la violence des crises économiques et sociales y contribuent tout autant. Si toute politique extérieure relève d'un langage par lequel un Etat défend le statut international minimal de la nation tout en cherchant à imposer un statut maximal, la période 1915-1940 se traduit par de grandes disparités dans l'espace et dans le temps. Vainqueurs et vaincus de la Première Guerre mondiale se trouvent à front renversé et il est évident que l'opinion publique dans les démocraties parlementaires, pour être forte, est émiettée et ne constitue pas un appui pour une politique extérieure de résistance ou d'audace. A la rationalité active et plus ou moins bien conduite de la diplomatie, agent de la politique extérieure, s'oppose, dans tous les cas, l'irrationalité d'une opinion publique dont il ressort qu'à partir des années 30 l'art suprême des gouvernants consiste désormais à savoir la conduire.