Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Science est essentiellement une activité qui vise à résoudre des problèmes, pas à en créer. La Science ne doit pas être équivoque, c'est-à-dire...
Lire la suite
La Science est essentiellement une activité qui vise à résoudre des problèmes, pas à en créer. La Science ne doit pas être équivoque, c'est-à-dire suspecte, et ne doit en aucun cas provoquer le doute. C'est loin d'être le cas. L'auteur, universitaire et ingénieur atomiste, ouvre une nouvelle ère de réflexion sur le " vivant " et son devenir en apportant des réponses fondamentales.
" Toute découverte de la Science pure est subversive en puissance : toute science doit parfois être traitée comme un ennemi en puissance " A. Huxley. Depuis ces dernières décennies s'accomplit une révolution silencieuse de la Science touchant aux fondements de la matière. Un changement radical de la science s'est effectué depuis la découverte de l'atome et des gènes. La radioactivité ambiante augmente et la génétique modifie la structure du vivant. Il apparaît, à l'évidence, que cette " révolution scientifique " ne soit ni appréciée ni prise en compte avec tout le réalisme qu'elle devrait exiger. Avec la découverte de l'atome et des gènes, la Science a changé de palier en omettant un concept capital à prendre désormais en compte : le " concept de faisabilité projective " des nouvelles choses créées artificiellement et n'existant pas dans la nature (OGM, radioactivité) ou " néo-artefacts ", aux effets terriblement inconnus et pourtant mis en œuvre, hypothéquant ainsi l'avenir de l'humanité. Les gaulois n'avaient qu'une seule peur : que le ciel leur tombât sur la tête. Cela signifie en fait qu'ils n'avaient peur. de rien, car ils savaient pertinemment que le ciel ne peut pas tomber. C'est pourtant ce qui risque de nous arriver alors que nous le croyons pas. L'œil, erreur génétique au milieu du front, regarde déjà Caïn... Cet essai ouvre un nouveau champ de vision sur l'évolution et passionnera tous ceux qui s'intéressent aux questions fondamentales de la vie.
Sommaire
Il est des mondes où la bêtise règne
Et toutes les idées fausses ont finies par disparaître emportées par la raison ou anéantissement du faux
Des réalités rationnelles aux réalités irrationnelles, la science pose problème