Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les souvenirs militaires du comte Roman Soltyk, parurent pour la première fois en 1836. L'auteur y est présenté comme " général de brigade d'artillerie...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Les souvenirs militaires du comte Roman Soltyk, parurent pour la première fois en 1836. L'auteur y est présenté comme " général de brigade d'artillerie polonaise, officier supérieur à l'état-major de Napoléon ". En 1812, pendant l'expédition de Russie, Soltyk était chef d'escadron du 6ème régiment de lanciers polonais, puis aide de camp du général Sokolnicki attaché à l'état-major impérial. Son avancement avait été assez rapide, favorisé il est vrai, par le prince Poniatowski : élève de l'Ecole Polytechnique de France, il avait fait la campagne de 1809 à la tête d'une compagnie d'artillerie légère et reçut le grade de chef d'escadron en 1811. Sa relation de la campagne de Russie est différente de celles des officiers français à plus d'un point : Soltyk juge les événements en tant que Polonais et les interprète parfois différemment, tout en restant objectif dans ses descriptions des opérations militaires, dont il donne beaucoup de détails. Son récit est truffé d'anecdotes, dont la plupart lui sont personnelles, mais on y retrouve, au fil des pages, plusieurs grands personnages de l'entourage de l'Empereur, y compris des généraux polonais. Il rapporte plusieurs propos de Napoléon lui-même, ce qui ajoute de la valeur à ses souvenirs, qui se classent parmi les meilleurs dans la littérature abondante du Premier Empire.