Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Issu du corps des sous-officiers, médaillé militaire, 18 fois cité et 5 fois blessé, le Général Georges Grillot a vécu tous les drames du soldat...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Issu du corps des sous-officiers, médaillé militaire, 18 fois cité et 5 fois blessé, le Général Georges Grillot a vécu tous les drames du soldat aux avant-postes. Obligé de jeter dans la balance Le Code de l'Homme de Guerre et ses Traditions pour tenter de mettre fin à tant d'horreurs rencontrées, " il en revient " la chair meurtrie et l'âme brisée : - " Comment faire la guerre contre la guerre ? " Aujourd'hui maire de son petit village dans le Morvan et fondateur d'une association pour l'égalité de ses frères d'armes (blancs, jaunes et noirs) devant l'Honneur et le Devoir, il est convaincu qu'il est temps de repenser notre système de défense - " Et si la guerre civile était à notre porte... ? " En soulignant la Primauté et la Responsabilité du Politique en ce genre de conflit où la morale trouve difficilement ses repères, son livre veut interpeller à la fois le soldat montant assurer la relève, et le citoyen aux prises avec la violence quotidienne dans la rue, à l'école ou dans les transports publics : " Comment établir une nouvelle alliance entre la société civile qui veut la paix, et ceux de ses fils ou filles qui ont mission de la défendre ? " Qu'on ne s'y trompe pas ! La Patrie reste " une idée sainte ". Et la réponse à ces questions ne peut jaillir que de la vigilance, de la communion et du courage patriotiques de notre jeunesse. Oui ! À l'aube du nouveau millénaire, cela vaut toujours la peine de mourir pour la France