Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Mercenaire-saltimbanque - c'était il y a près de quinze ans -, Michel Haillard s'est pris au jeu du mobilier d'art, par instinct. Atypique et décalé,...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
Mercenaire-saltimbanque - c'était il y a près de quinze ans -, Michel Haillard s'est pris au jeu du mobilier d'art, par instinct. Atypique et décalé, l'artiste s'est fait connaître comme le fils prodige d'un courant anti-académique, responsable d'une œuvre hors norme, à la fois élitiste et populaire, mêlant deux aspects antagonistes, quoique complémentaires : l'indigène et le civilisé. Son travail reflète son goût pour la magie des formes extra-occidentales et le clinquant du patrimoine circassien. Un mobilier-règne animal, plus qu'un mobilier-trophée de chasse. Ce qui frappe dans cet ensemble, ces meubles véritablement incarnés, ces pièces d'art aussi sensibles que mirifiques et parées des matériaux parmi les plus anciens du monde vivant, c'est avant tout l'intensité plastique, ce choc physionomique des formes et de leurs croisements insensés. Guérisseur mystique capable d'hybrider n'importe quel corps animal, Michel Haillard excelle désormais, dans cet art dit " sauvage " qui se situe à mi-chemin entre l'" imaginer-créer " et l'" exorcisme décoratif ". Son travail reconnu par de nombreux collectionneurs internationaux est régulièrement exposé par Daniel Goldmann dans sa galerie Omagh, à Paris depuis une dizaine d'années.