Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
De la philosophie d'Epicure - 341-270 av. J.-C. -, on ne retient souvent que la morale du plaisir, enseignée par le maître puis ses disciples à l'école...
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Résumé
De la philosophie d'Epicure - 341-270 av. J.-C. -, on ne retient souvent que la morale du plaisir, enseignée par le maître puis ses disciples à l'école du Jardin.
Les textes qui subsistent - trois lettres et les Maximes - sont là pour attester l'existence d'un système philosophique fondé aussi sur une cosmologie atomiste et une connaissance sensualiste du monde.
Les Maximes, au nombre de quarante-quatre - publiées ici de manière isolée dans la traduction simple et concise, conforme à leur esprit, qu'en donna qu XVIIIe siècle l'abbé Charles Batteux - livrent sur le sensible, la mort, le bonheur et le plaisir, l'indifférence ou l'amitié, le fond même de la pensée du philosophe. Le commentaire qu'en donne, sous le titre Epicure ou le bonheur sans détour, un groupe de professeurs de philosophie, lecture attentive du texte lui-même, est de fait une invitation à découvrir l'épicurisme dans sa vérité, celle de " la philosophie du jardin (qui) goûte sans détour la joie d'une pensée comblée par la seule présence du monde ".