Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Au commencement de ce volume, le lecteur trouvera un choix d'hommages relatifs à François Mauriac, publiés en revues ou dans la presse entre 1965 et...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Au commencement de ce volume, le lecteur trouvera un choix d'hommages relatifs à François Mauriac, publiés en revues ou dans la presse entre 1965 et 1985. La mort de François Mauriac en 1970 suscita un éloge unanime, tandis que le centenaire de sa naissance en 1985 fut l'occasion de commentaires multiples et variés. Mais l'attention semble se concentrer de nos jours sur le génial polémiste que Jean Daniel considère comme le plus grand de son siècle. Nous avons rassemblé sur ce thème un certain nombre de textes d'où il ressort que Mauriac n'était pas si " méchant " qu'on l'a dit, car l'extrême lucidité, l'extrême sincérité et les prouesses de l'écriture ne sont pas la méchanceté, et Mauriac pardonne plus aisément que son maître Pascal, l'auteur des Provinciales. Son adresse suprême est même de qualifier son grand adversaire Sartre, d' " athée providentiel... " à la recherche d'un Dieu inconnu. La polémique mauriacienne d'ailleurs ne s'élève pas sur un cimetière d'œuvres mortes, comme la revanche d'un raté, mais comme l'épanouissement critique parallèle à une œuvre romanesque très vivante, car si les visages de Bernard Desqueyroux, de Couture, de Brigitte Pian, de Génitrix et de Louis du Nœud de Vipères, sont des images féroces, elles sont d'autant plus vivantes qu'elles dépassent les faits et sont féroces, d'une férocité éternelle.