Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Toute la vie de sœur Marie de Jésus crucifié, la Petite Mariam, comme on l'appelle familièrement, est une nouvelle illustration de ce que l'Amour...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Toute la vie de sœur Marie de Jésus crucifié, la Petite Mariam, comme on l'appelle familièrement, est une nouvelle illustration de ce que l'Amour miséricordieux est capable de faire dans un cœur qui se livre à lui sans partage.
Mariam Baouardy est une enfant de la Galilée. Ses parents pauvres mais profondément chrétiens, meurent tous deux à quelques jours d'intervalle, peu de temps après la naissance d'un petit frère. Un oncle paternel se fait le tuteur de Mariam. Tout ne se passe pas bien dans son nouveau foyer d'adoption, surtout lorsque, alors âgée de treize ans, la future carmélite refuse le parti que lui destine son oncle. Mariam s'enfuit pour échapper aux mauvais traitements qu'on lui fait subir.
Commence pour elle un long chemin d'errance qui la conduit d'Alexandrie à Jérusalem en passant par Beyrouth avant d'aboutir à Marseille au début de mai 1863. Mariam n'a alors que dix-huit ans, mais sa vie est déjà émaillée de manifestations surnaturelles peu ordinaires. D'abord novice chez les sœurs de Saint Joseph à Marseille, elle entre ensuite en 1867 au carmel de Pau où elle prend, en même temps que l'habit de Notre-Dame du Mont-Carmel, le nom de sœur Marie de Jésus crucifié.
A vingt-quatre ans, sœur Mariam part pour fonder le carmel de Mangalore en Inde. Puis ce sera Bethléem en septembre 1875, un carmel dont elle concevra elle-même les plans avant d'y mourir à l'âge de trente-trois ans, le 26 août 1878.
Mariam est bien une fille du Carmel, et parce qu'elle a choisi de vivre seule avec Dieu seul dans un don sans retour, le Dieu vivant et vrai l'a élevée jusqu'aux plus hauts sommets de la perfection de l'Amour.
Par tout ce que Jésus s'est plu à accomplir pour son " petit rien ", Mariam est devenue un vivant témoin de son amour transformant. P. Jean-Gabriel RUEG, o.c.d.