Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Suite à l'examen de la " chose littéraire " mené dans le tome premier (À défaut - la littérature), le cheminement vers une poétique générale...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Suite à l'examen de la " chose littéraire " mené dans le tome premier (À défaut - la littérature), le cheminement vers une poétique générale - dont celle-ci figurait en quelque sorte l' " éclaireur " s'effectue, ici, dans le second. Selon la double perspective de l'amuïssement des grandes formes artistiques acquises, et de la subversion de la représentation comme de la métaphysique qui l'ordonne. Ainsi, alternant divers tons de l'écriture théorique et de la lecture critique, le présent livre comprend six chapitres où sont " revisités " quelques œuvres et discours limite, dans le parage de la philosophie, du théâtre, de la peinture, de la musique de jazz, du cinéma, mais aussi du poème ancien et de sa traduction.
Le terme de " limites " qui commande le titre général de cet ouvrage en deux tomes se prête à plusieurs sens. D'abord celui de " confins " : les œuvres ici étudiées mènent à la limite diverses formes de contestation de leur propre matériau. Dans le même temps elles se font " œuvres limite ", puisqu'elles accomplissent la catastrophe du genre dans lequel elles s'inscrivent. Mais le terme signifie encore " frontière ", ce qu'illustre particulièrement le jazz qui, sonnant comme l'autre de la musique européenne, franchit par là une démarcation. Enfin, on peut entendre en ce mot un écho du verbe " imiter ", suggérant que, analysée en son travail d'imitation représentative, la mimesis dévoile, à la limite, le rapport à l'irreprésentable qui lui donne lieu.