Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
D'avril 1943 à avril 1945, Léon Blum a été " déporté " à Buchenwald. Etrange déportation ! Il s'agissait d'un internement dans une petite maison...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
D'avril 1943 à avril 1945, Léon Blum a été " déporté " à Buchenwald. Etrange déportation ! Il s'agissait d'un internement dans une petite maison forestière séparée de quelques centaines de mètres du camp de sinistre mémoire.
Léon Blum vit cloîtré avec des livres, en tête à tête avec Georges Mandel que les Allemands vont livrer à la milice française pour être assassiné. Il est rejoint par celle qu'il épouse devant un notaire de Weimar, lieu des conversations de Goethe avec Eckermann, qui avaient fait l'objet du premier grand livre de l'ancien critique littéraire de la Revue blanche. Oui, étrange internement, à côté de l'horreur que Léon Blum ne découvrira qu'à son départ.
De ces deux années, on ne savait jusqu'alors presque rien, à part Le Dernier Mois, récit de sa libération. Ilan Greilsammer, chercheur israélien, l'auteur d'une classique biographie de Léon Blum, s'est vu confier par son arrière-petit-fils, Antoine Malamoud, les cinquante-huit lettres que Blum a adressées à son fils Robert, officier en captivité, à Lübeck, en Allemagne. Lettres censurées, intéressantes jusqu'à leur banalité même, et témoignage poignant d'un prisonnier presque coupé du monde. Elles éclairent d'un jour inattendu le caractère de l'une des grandes personnalités politiques françaises du XXe siècle. Ilan Greilsammer les a réunies et présentées ici.
D'avril 1943 à avril 1945, Léon Blum a été interné dans une maison forestière à quelques centaines de mètres du camp de sinistre mémoire, dont il ne découvrira l'horreur qu'à son départ.