Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Lettre sur la tolérance - Précédé de Essai sur la tolérance (1667) et de Sur la différence entre pouvoir ecclésiastique et pouvoir civil (1674) - Poche
Quels sont les rapports qui doivent exister entre l'État et l'Église, ou plutôt entre l'État et les Églises ? Pour répondre à cette question, la...
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Résumé
Quels sont les rapports qui doivent exister entre l'État et l'Église, ou plutôt entre l'État et les Églises ? Pour répondre à cette question, la Lettre sur la tolérance emprunte la voie d'une double réflexion sur la nature de la croyance et du pouvoir. La croyance ne dépend pas de la volonté, tandis que le pouvoir, qui est essentiellement coercitif, ne peut influer sur la conduite des hommes que dans les actions où ces derniers ont la possibilité de modifier leur conduite par une décision volontaire ; or, puisque la croyance n'entre pas dans cette catégorie, elle ne fait pas partie des objets possibles de l'autorité politique. Au cœur du raisonnement qui conduit à l'idée de tolérance figure donc une thèse fort simple : nos pensées ne sont pas en notre pouvoir. Jointe à la conviction que, en matière religieuse, seule la sincérité sauve, elle constitue le fondement de la conception lockienne de la tolérance.
Sommaire
Essai sur la tolérance (1667)
Sur la différence entre pouvoir ecclésiastique et pouvoir civil (1674)
Quels sont les rapports qui doivent exister entre l'Etat et l'Eglise, ou plutôt entre l'Etat et les Eglises ? Pour répondre à cette question, la Lettre sur la tolérance emprunte la voie d'une double réflexion sur la nature de la croyance et du pouvoir. La croyance ne dépend pas de la volonté, tandis que le pouvoir, qui est essentiellement coercitif, ne peut influer sur la conduite des hommes que dans les actions où ces derniers ont la possibilité de modifier leur conduite par une décision volontaire ; or, puisque la croyance n'entre pas dans cette catégorie, elle ne fait pas partie des objets possibles de l'autorité politique. Au coeur du raisonnement qui conduit à l'idée de tolérance figure donc une thèse fort simple : nos pensées ne sont pas en notre pouvoir. Jointe à la conviction que, en matière religieuse, seule la sincérité sauve, elle constitue le fondement de la conception lockienne de la tolérance.
Lettre sur la tolérance - Précédé de Essai sur la tolérance (1667) et de Sur la différence entre pouvoir ecclésiastique et pouvoir civil (1674) est également présent dans les rayons