Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les textes qui composent ce volume envisagent la trace en tant que marque, passage, questionnement du lieu et de l'origine, regard sur le passé qui travaille...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
Les textes qui composent ce volume envisagent la trace en tant que marque, passage, questionnement du lieu et de l'origine, regard sur le passé qui travaille le présent, effet de survivance. Ils témoignent d'une épaisseur de la trace, de l'irréductibilité de la mémoire, du phénomène de mutations. La trace est considérée ici comme une sorte de lien entre le passé, le présent et le devenir ; elle donne lieu à un questionnement sur le temps et le geste, sur l'acte et le vestige, sur l'indice et l'absence. Mais la trace est aussi un parcours, une piste à frayer dans un environnement donné. Tracer c'est ouvrir une voie, une brèche. Aux Antilles, une tracée est un sentier, une voie rudimentaire qui a été défrichée dans la forêt. Cette tracée frayée par les Nègres marrons en fuite était aussi le chemin de la liberté, le sentier de la révolte. La trace a de plus une pensée ; pensée qui selon Edouard Glissant prend en charge l'imprévisible, considéré comme une valeur ajoutée. La trace est le nouveau, la divagation, l'errance...