Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Après Eschyle (les Sept contre Thèbes) et Sophocle (Œdipe-Roi) Euripide, à son tour, entreprend de réécrire le mythe thébain. Mais il le fait au...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Après Eschyle (les Sept contre Thèbes) et Sophocle (Œdipe-Roi) Euripide, à son tour, entreprend de réécrire le mythe thébain. Mais il le fait au jour de la crise où s'abîme la démocratie athénienne, dans le moment de la guerre du Péloponnèse. Le théâtre, ici, est politique : les conflits de la famille sont immédiatement ceux du pouvoir ; la figure singulière d'Œdipe est reléguée par le destin de la communauté, que hante l'imminence de la guerre civile. Autrement dit, la cité est l'unique espace de jeu. Mais celui-ci s'ouvre, il donne la parole au frère exclu, à la vieille Jocaste, au jeune prince sacrifié, aux Phéniciennes migrantes sur la question radicale de ce qui fonde la cité. La présente traduction est inédite. Elle fut à l'origine écrite pour la scène : Les Phéniciennes furent montées en 1982, sous la direction de Michel Deutsch et de Philippe Lacoue-Labarthe, au Théâtre National de Strasbourg. Son parti pris - qui s'inspire, toutes proportions gardées, de celui de Hölderlin traduisant Sophocle - est le parti pris de la littéralité, agirait-elle, à la limite, contre l'usage de notre langue. Mais Euripide est notre contemporain.