Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Qui a bien pu nous faire croire que seuls les hommes méritent qu'on leur tire le portrait et en quoi pouvons-nous imaginer un instant qu'il n'existe...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Qui a bien pu nous faire croire que seuls les hommes méritent qu'on leur tire le portrait et en quoi pouvons-nous imaginer un instant qu'il n'existe pas de différences considérables entre un pinson et un autre pinson, qu'il en
aille de sa tête, ses yeux, son corps ou ses membres aussi bien que de son attitude ou des amours qu'il connaît dans
son existence de pinson ? Jean-Luc Mylayne est un portraitiste ! Avec infiniment de précautions, de respect et d'estime, Jean-Luc Mylayne capte des moments fugaces qu'il nous offre en présent. Il est le portraitiste de cette présence sourde du monde que nous entendons confusément siffler, chanter, piailler, qui nous entoure de toutes parts et qui parfois nous enchante, mais que nous ne voyons pas ou que nous regardons si peu. Vouloir réduire le propos des photographies de Jean-Luc Mylayne aux oiseaux est aussi sot que de prétendre que Jean-Baptiste Siméon Chardin s'en est tenu, sa vie durant, à peindre des natures mortes ou des servantes quand, lui
aussi, nous racontait le monde dans sa douce et tendre intimité. (Laurent Busine)