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Pour la première fois, un auteur ose la première personne pour évoquer Nicolas de Staël. Karin Müller parle de sa vie, de ses femmes, de la difficulté de créer, de la misère et des terribles souffrances qui l’ont poussé à se jeter dans le vide un beau jour de 1955. Tout est évoqué dans ce texte dense, qui permet d’entrer dans l’univers impitoyable et fulgurant d’un des plus grands peintres de la première moitié du XXe siècle.
Un destin dramatiquement romantique, qui marquera
le lecteur longtemps après qu’il aura refermé le livre.