Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pourquoi une suite à " Camions de chez nous " ? Tout simplement, parce que le temps passe, le camion évolue et qu'ainsi nous poursuivons notre visite...
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Pourquoi une suite à " Camions de chez nous " ? Tout simplement, parce que le temps passe, le camion évolue et qu'ainsi nous poursuivons notre visite historique.
Descendant le temps, nous arrivons aux années 60-70, années où l'industrie française du véhicule industriel va devoir terminer sa mutation interne commencée à la Libération, années où il lui faudra aussi admettre l'Europe et abandonner tout espoir de conserver un marché hexagonal protégé de toute concurrence.
Au-delà de ces considérations économiques, " Camions, couleurs de chez nous " nous permet aussi de recourir à la couleur car, c'est dans ces années-là, que constructeurs et carrossiers abandonnent les prises de vue en noir et blanc.
Les photographies de ce livre proviennent pour une part de ces archives, mais aussi de celles constituées au fil du temps, au cours de promenades qui n'avaient qu'un but, fixer sur la pellicule des camions avant que ceux-ci ne disparaissent. Cela a permis de conserver quelques bêtes rares saisies alors qu'elles étaient au travail, certaines pour bien peu de temps encore.
Toutes les photos de matériels en activité ont donc été prises sur le vif, et apportent au livre toute la valeur et la rareté de témoignages photographiques constitués jour après jour.