Avec pour toile de fond la ville de Ankh Morpork dévorée par les flammes, voici que débute mon immersion dans l'une des saga les plus importante de la littérature fantasy contemporaine : Les Annales du Disque-Monde, par Terry Pratchet.
L'une des pires espèces que le Disque ait jamais pu engendrer, le Touriste, se retrouve en compagnie du pire mage jamais connu, Rince-Vent. À eux deux et ballottés par les désirs du Destin (le dieu, pas le concept abstrait), ils vont alors vivre pléthore de mésaventures, et permettront au lecteur néophyte de découvrir tranquillement l'univers du Disque
et ses multiples règles improbables et chaotiques.
Première partie d'un diptyque d'une grande aventure dont la suite est Le Huitième Sortilège, cette entrée en matière pose rapidement et de manière compréhensible ses bases et ses prétentions, ce qui permet une entrée en douceur et avec beaucoup de plaisir. Un des éléments majeurs de ce tome est la découverte de la huitième couleur primordiale, l'octarine, qui tire surtout sur un mauve verdâtre en fait, et qui émane telle une radiation des phénomènes magiques. Découpé en quelques aventures, ce premier opus possède déjà plusieurs des éléments clés de l'écriture Pratchet.
Un immanquable de la fantasy humoristique !
Avec pour toile de fond la ville de Ankh Morpork dévorée par les flammes, voici que débute mon immersion dans l'une des saga les plus importante de la littérature fantasy contemporaine : Les Annales du Disque-Monde, par Terry Pratchet.
L'une des pires espèces que le Disque ait jamais pu engendrer, le Touriste, se retrouve en compagnie du pire mage jamais connu, Rince-Vent. À eux deux et ballottés par les désirs du Destin (le dieu, pas le concept abstrait), ils vont alors vivre pléthore de mésaventures, et permettront au lecteur néophyte de découvrir tranquillement l'univers du Disque et ses multiples règles improbables et chaotiques.
Première partie d'un diptyque d'une grande aventure dont la suite est Le Huitième Sortilège, cette entrée en matière pose rapidement et de manière compréhensible ses bases et ses prétentions, ce qui permet une entrée en douceur et avec beaucoup de plaisir. Un des éléments majeurs de ce tome est la découverte de la huitième couleur primordiale, l'octarine, qui tire surtout sur un mauve verdâtre en fait, et qui émane telle une radiation des phénomènes magiques. Découpé en quelques aventures, ce premier opus possède déjà plusieurs des éléments clés de l'écriture Pratchet.