Cette biographie se lit vite, elle est écrite en gros caractères sur du papier un peu « plastifié » donc qui subit les reflets de la lumière, elle est très bien illustrée par de nombreuses photos notamment des différents avions créés par la société DASSAULT ou des photos de Marcel DASSAULT lui-même. Bref, vous l’aurez compris, ce n’est pas de la grande littérature mais, ça n’empêche pas de prendre beaucoup de plaisirs à la lire. Elle est très intéressante.
Ainsi, cet ouvrage raconte la vie de Marcel DASSAULT de sa naissance jusqu’à son entrée à l’Assemblée
Nationale, en passant par son séjour dans le camp de Buchenwald. En revanche, à aucun moment n’est cité son changement de nom, ni les raisons qui l’y ont poussé… Effectivement, il s’appelait Marcel BLOCH, ce nom raisonnait trop avec « Boch » et pouvait poser quelques problèmes au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, c’est pourquoi il a trouvé plus judicieux de changer de nom.
Cependant, il y a un point négatif à cette autobiographie, le prologue écrit par Serge DASSAULT, résume parfaitement la vie de son père, il cite tous les éléments importants de sa vie et donc de l’œuvre. On pourrait lire uniquement le prologue qui est l’équivalent d’un très bon résumé.
Cette œuvre nous permet d’en apprendre d’avantage sur Marcel DASSAULT, de découvrir l’homme « social » qui se cachait derrière le grand homme. Il a fait beaucoup pour le bien-être de ses employés (ces derniers avaient déjà des congés payés avant que ceux-ci soient instaurés en France puis, ces mêmes congés furent toujours d’une durée supérieure à celles des congés payés « classiques », et croyez moi ou non, je peux vous assurer que c’est toujours le cas…). En tant que député, il a mis en place un projet de lois permettant et/ou facilitant l’accès à la propriété pour la classe moyenne.
Un génie de l’aéronautique!
Cette biographie se lit vite, elle est écrite en gros caractères sur du papier un peu « plastifié » donc qui subit les reflets de la lumière, elle est très bien illustrée par de nombreuses photos notamment des différents avions créés par la société DASSAULT ou des photos de Marcel DASSAULT lui-même. Bref, vous l’aurez compris, ce n’est pas de la grande littérature mais, ça n’empêche pas de prendre beaucoup de plaisirs à la lire. Elle est très intéressante.
Ainsi, cet ouvrage raconte la vie de Marcel DASSAULT de sa naissance jusqu’à son entrée à l’Assemblée Nationale, en passant par son séjour dans le camp de Buchenwald. En revanche, à aucun moment n’est cité son changement de nom, ni les raisons qui l’y ont poussé… Effectivement, il s’appelait Marcel BLOCH, ce nom raisonnait trop avec « Boch » et pouvait poser quelques problèmes au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, c’est pourquoi il a trouvé plus judicieux de changer de nom.
Cependant, il y a un point négatif à cette autobiographie, le prologue écrit par Serge DASSAULT, résume parfaitement la vie de son père, il cite tous les éléments importants de sa vie et donc de l’œuvre. On pourrait lire uniquement le prologue qui est l’équivalent d’un très bon résumé.
Cette œuvre nous permet d’en apprendre d’avantage sur Marcel DASSAULT, de découvrir l’homme « social » qui se cachait derrière le grand homme. Il a fait beaucoup pour le bien-être de ses employés (ces derniers avaient déjà des congés payés avant que ceux-ci soient instaurés en France puis, ces mêmes congés furent toujours d’une durée supérieure à celles des congés payés « classiques », et croyez moi ou non, je peux vous assurer que c’est toujours le cas…). En tant que député, il a mis en place un projet de lois permettant et/ou facilitant l’accès à la propriété pour la classe moyenne.