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Emouvant
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Eblouissant
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Vibrant
La postface raconte la « petite histoire d’un grand livre » où comment ce roman est arrivé sur le bureau de Claude Couffon, traduit à la demande de Maurice Nadeau pour publication. A sa sortie il fut salué par Max-Pol Fouchet, Robert Sabatier, André Wurmser et d’autres.
La guerre civile est focalisée par ce ravin qui est également l’espace qui la sépare entre hier, la paix, une enfance heureuse et demain, l’angoisse, la peur, l’absence…. Le puits profond où s’enfonce sa mère. Heureusement, il y a le grand-père bourrelier, celui vers qui elle se réfugie, qui lui permet
de redevenir ou rester une petite fille alors que la mère veut en faire une grande personne.
Dans ce livre d’une grande beauté poétique, Nivaria Tejera fait parler la petite fille qu’elle était à travers ses souvenirs. Par petites touches, elle dessine son entourage, la grande maison, puis les autres, celle du grand-père adoré où elles vivront, la tante qui coud à la machine, le grand-père, la prison, le collège, l’absence, la peur, les procès, les visites à la prison puis au camp de concentration où se trouve son père … autant de petits tableaux impressionnistes qui impressionnèrent la lectrice que je suis.
Ce livre vous prend aux tripes, touche ce que nous avons de pus profond, un vrai diamant. Ce livre ne se laisse pas oublier, les mots restent dans la tête, durs et limpides comme les explications de la petite fille.
un pur diamant
La postface raconte la « petite histoire d’un grand livre » où comment ce roman est arrivé sur le bureau de Claude Couffon, traduit à la demande de Maurice Nadeau pour publication. A sa sortie il fut salué par Max-Pol Fouchet, Robert Sabatier, André Wurmser et d’autres.
La guerre civile est focalisée par ce ravin qui est également l’espace qui la sépare entre hier, la paix, une enfance heureuse et demain, l’angoisse, la peur, l’absence…. Le puits profond où s’enfonce sa mère. Heureusement, il y a le grand-père bourrelier, celui vers qui elle se réfugie, qui lui permet de redevenir ou rester une petite fille alors que la mère veut en faire une grande personne.
Dans ce livre d’une grande beauté poétique, Nivaria Tejera fait parler la petite fille qu’elle était à travers ses souvenirs. Par petites touches, elle dessine son entourage, la grande maison, puis les autres, celle du grand-père adoré où elles vivront, la tante qui coud à la machine, le grand-père, la prison, le collège, l’absence, la peur, les procès, les visites à la prison puis au camp de concentration où se trouve son père … autant de petits tableaux impressionnistes qui impressionnèrent la lectrice que je suis.
Ce livre vous prend aux tripes, touche ce que nous avons de pus profond, un vrai diamant. Ce livre ne se laisse pas oublier, les mots restent dans la tête, durs et limpides comme les explications de la petite fille.