Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le Miroir de la foi est écrit vers 1140. L'époque où saint Bernard et les premiers Cisterciens se font les chantres de l'amour de Dieu et renouvellent...
Lire la suite
Le Miroir de la foi est écrit vers 1140. L'époque où saint Bernard et les premiers Cisterciens se font les chantres de l'amour de Dieu et renouvellent la théologie mystique, tandis que les hardiesses intellectuelles de Maître Pierre Abélard semblent ébranler les bases traditionnelles de la foi.
Guillaume de Saint-Thierry, ami de saint Bernard, lui-même penseur et mystique, devenu, d'abbé bénédictin, moine cistercien de Signy, entend rassurer les croyants simples et fervents en mettant en vive lumière le caractère, l'objet, le chemin de la foi, inséparable de la charité.
Son Miroir de la foi est un des premiers ouvrages qui tentent la synthèse des éléments constitutifs de l'acte de foi : la grâce et la liberté, l'intelligence et la volonté. Si la raison garde tous ses droits, " l'amour lui-même est connaissance ".
Dom Jean DECHANET, ermite du Valjouffrey, a travaillé toute sa vie à scruter et à faire connaître la pensée de Guillaume de Saint-Thierry, dont il a publié en dernier lieu, dans la même collection, la fameuse Lettre d'or aux Chartreux du Mont-Dieu.