Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ceci est " l'indicible histoire du 1er avril 1990 ", anniversaire d'Auguste Abraham Abderhalden qui a perdu sa langue, mais, à la veille de ses vingt...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 9 octobre
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Résumé
Ceci est " l'indicible histoire du 1er avril 1990 ", anniversaire d'Auguste Abraham Abderhalden qui a perdu sa langue, mais, à la veille de ses vingt ans, noue de mystérieux rapports avec les phénomènes météorologiques, entreprend de démêler les fils de son existence et de tisser la toile de son récit. Inspiré ou tracassé par de mystérieuses puissances, il commence une vaste rhapsodie où se mêlent non seulement sa famille adoptive et ce frère perdu qui voulait " voir derrière les choses ", mais aussi Escher et Zwingli, Ana, la faiseuse de temps, la gare de Zurich, le Toggenbourg, ce " long accord en mineur à travers l'histoire du monde ", la Thur, la raconteuse qui connaît tous les secrets.
L'écriture, inventive, ludique, jubilatoire est à l'image du ciel d'avril qui fait ce qu'il veut. Il existe une fleur qu'on appelle le désespoir des peintres. Le livre de Peter Weber appartient à l'espèce dite désespoir des traducteurs.
L'imprudent qui s'en approche s'aperçoit vite qu'il ne rendra quelque peu justice à son auteur qu'en faisant comme lui la pluie et le beau temps, en choisissant la liberté, en créant là où il ne peut pas imiter.
Ecrivain, auteur de théâtre et musicien de jazz, PETER WEBER est né en 1968 dans le Toggenburg et vit à Zurich. Le Faiseur de temps est son premier roman.