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Voluptés gazées et grâces rococo, pinceau délicat ou obsène, tous les poncifs relatifs à la frivolité et à l'érotisme de Crébillon ont occulté l'importance du langage dogmatique dans ses romans. La représentation de la jouissance y laisse place à un discours de maîtrise des affects. Entre la culture de l'aristocratie de Cour et le développement des Lumières, cette parole de la distance à l'égard du réel, d'un détachement libérateur, satisfait un fantasme de toute-puissance et d'individualité.