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Quelle singulière mission, quel puissant appel ont pu fixer l'énigmatique M. K. qui se dit arpenteur sur les terres du comte weswest ? L'auberge du village enneigé où il échoue par un soir d'hiver sera-t-elle désormais le visage de son destin ou l'ultime étape vers ce monde du Château qui semble aimanter ses rêves ? Lorsque s'interrompt ce récit inachevé, le lecteur quitte à regret une contrée onirique éclairée par l'humour et la facétie.
Allégorie moderne, fable ou fiction pure, Le Château se dresse comme un nid d'aigle où Kafka accumule un trésor d'images et de visions qu'il plonge, comme le voulait l'un de ses maîtres, Kierkegaard, "dans les eaux baptismales de l'oubli pour le consacrer à l'éternité du ressouvenir" .
mystérieux
lien vers ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/le-chateau-franz-kafka.html
extrait de ma chronique:
Résumé : K est un arpenteur qui tente de faire son métier. Mais pour cela, il doit réussir à parvenir au château, lieu inaccessible rempli de différents fonctionnaires dont le mystérieux Klamme. Les situations toutes plus absurdes les unes que les autres s’enchaînent sans répit avec des personnages tous aussi loufoques. Un enfer kafkaïen, insolvable et irrésolu...
Le mot de la fin : Une fois encore mon interprétation de cet ouvrage dépend de ma connaissance de la biographie de l'écrivain.Kafka se savait mourant de la tuberculose au moment de la rédaction de ce roman. L'énigme du château me semble être le questionnement pré-mortem d'un humain tourmenté par la vie mais, effrayé par la mort. Le château est un lieu impénétrable, des personnes y travaillent mais n'apportent pas de réponse satisfaisante ni concrète (...)