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"L'ailleurs est partout, à portée de main ou de pneu, et j'ai désormais à faire avec ce chemin tout tracé de ma route ordinaire, que je parcours chaque jour, dans les deux sens, avec les mêmes repères. D'abord on ne voit pas grand-chose, comme après une nuit mauvaise un réveil avant l'aube. On frotte les yeux collés, le pare-brise embué ; puis le voyage recommence...". Dans La Route ordinaire, Lionel Seppoloni décrit les "Quatre saisons" de la D207, et nous dit les mots qui lui viennent, en lien avec les changements de tempo, de couleur, d'humeur, d'attention, et tous les aléas du trajet.