Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Réédition - en fait, première édition " au grand jour " - d'un classique de la littérature érotique du XVIIIe siècle, imprimé en français à...
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Réédition - en fait, première édition " au grand jour " - d'un classique de la littérature érotique du XVIIIe siècle, imprimé en français à Londres en 1781 pour déjouer la censure royale, repris " sous le manteau " ensuite, quasi introuvable deux siècles durant. (La présente édition reprend fidèlement celle de Londres, gravures comprises.) Le " chevalier de Bar.*** ", mystérieux auteur de cette petite merveille de lascivité et d'impertinence, n'est autre - on le sait aujourd'hui - que le frère cadet de Mirabeau le tribun. En quelques chapitres brefs, rondement menés, où il est rendu évident hommage à l'art de Cazotte et de Crébillon fils, nous est ici troussée l'initiation d'un " libertin de qualité ". Comme le veut la loi du genre, le héros vole d'aventure en aventure et nous livre le détail de ses bonnes fortunes. La démocratie est déjà là : baronnes, soubrettes, filles des champs, nonnes sont égales devant la seule loi qui gouverne ici les humains, celle du désir. Et pour que la peinture soit complète, le bouillant Mirabeau en profite pour régler quelques comptes... car son récit est à " clés ", et les dards qui s'y trouvent à l'œuvre savent aussi joliment assassiner. Mais l'on jouit surtout, en ces pages, de l'art délicieux qui s'y donne carrière. Ce qui permettra à la presse et aux libraires de recommander ce petit livre aux jeunes gens et aux jeunes filles qui voudraient se familiariser avec la plus belle langue qui jamais fut.
Réédition - en fait, première édition au grand jour" - d'un classique de la littérature érotique du XVIIIe siècle, imprimé en français à Londres en 1781 pour déjouer la censure royale, repris "sous le manteau" ensuite, quasi introuvable deux siècles durant. La présente édition reprend fidèlement celle de Londres, gravures comprises. Le "chevalier de Bar", mystérieux auteur de cette petite merveille de lascivité et d'impertinence, n'est autre - on le sait aujourd'hui - que le frère cadet de Mirabeau le tribun. En quelques chapitres brefs, rondement menés, où il est rendu évident hommage à l'art de Cazotte et de Crébillon fils, nous est ici troussée l'initiation d'un "libertin de qualité". Comme le veut la loi du genre, le héros vole d'aventure en aventure et nous livre le détail de ses bonnes fortunes. La démocratie est déjà là : baronnes, soubrettes, filles des champs, nonnes sont égales devant la seule loi qui gouverne ici les humains, celle du désir. Et pour que la peinture soit complète, le bouillant Mirabeau en profite pour régler quelques comptes... car son récit est à "clés", et les dards qui s'y trouvent à l'ouvre savent aussi joliment assassiner. Mais l'on jouit surtout, en ces pages, de l'art délicieux qui s'y donne carrière. Ce qui permettra à la presse et aux libraires de recommander ce petit livre aux jeunes gens et aux jeunes filles qui voudraient se familiariser avec la plus belle langue qui jamais fut".