Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dès qu'on entre au musée, les époques se mélangent, mais aussi les admirations, les surprises et les soucis. Que voit-on, en effet ? Des tableaux,...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
Dès qu'on entre au musée, les époques se mélangent, mais aussi les admirations, les surprises et les soucis. Que voit-on, en effet ? Des tableaux, certes, et on s'y arrête ou on passe outre, on les regarde ou on les survole, on se laisse séduire ou on résiste, mais beaucoup d'autres choses encore : des spectateurs seuls ou par groupes, des gardiens, des parquets aux dessins réguliers ou des fenêtres qui rappellent le temps d'un regard le fourmillement de la ville alentour. A l'image d'une visite dans un musée imaginaire, La ménagère et le hibou se promène parmi une série de tableaux et de gravures de Rembrandt, célèbres et moins célèbres. Au long du parcours, des fils se tressent et s'entrecroisent, l'observation des tableaux se mêle à la vie d'une narratrice d'aujourd'hui et à la vie quotidienne telle qu'on la menait à Amsterdam au XVIIe siècle. Les rencontres se succèdent, la ferveur demeure. A la frontière des genres, mêlant la fiction à l'examen attentif des œuvres, La ménagère et le hibou n'en finit pas de poser la question : pourquoi regarder Rembrandt aujourd'hui ? Qu'espérons-nous des œuvres que nous admirons ?
Née à Bruxelles, Geneviève Bergé a publié en 1993 un récit en prose poétique, Les Chignons (Gallimard) et, en 1998, un recueil de nouvelles intitulé Au bord du noir (L'Age d'Homme).