Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les Pères de l'Eglise étaient-ils mysogynes ? N'ont-ils pas pris un malin plaisir, quelques siècles après saint Paul, à mépriser la femme pour ne...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
Les Pères de l'Eglise étaient-ils mysogynes ? N'ont-ils pas pris un malin plaisir, quelques siècles après saint Paul, à mépriser la femme pour ne voir dans celle-ci qu'une dangereuse tentatrice, à la manière d'Eve ? A cette question mille fois entendue, France Quéré apporte ici une réponse nuancée, nourrie de la traduction et de la connaissance approfondie des textes patristiques. C'est que, à l'époque de Jérôme, d'Augustin ou de Jean Chrysotome, s'entrechoquent tout à la fois le poids de la culture antique, qui prône à la femme la soumission et l'obéissance, et la nouveauté du christianisme, qui valorise l'égalité et la liberté des enfants de Dieu. C'est au cœur de cette tension des premiers siècles, où se mêlent valeurs païennes et idéaux chrétiens, que va progressivement s'élaborer la réflexion propre des Pères, qui rompt en bien des poitns avec les conformismes de l'époque. Dans cet essai qui n'avait pas encore fait jusque-là l'objet d'un livre, France Quéré dégage l'originalité du propos des Pères sur la Femme, avec l'élégance d'écriture qu'on lui connaît. Au-delà des lieux communs et des caricatures, elle éclaire d'un regard vif l'un des aspects souvent méconnu des premiers siècles du christianisme.
Disparue en 1995, France Quéré, théologienne, a notamment publié, au Seuil, Les Pères apostoliques ; Les Femmes de l'Evangile ; et, chez Desclée de Brouver, Marie.