Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Nous voici entraînés dans le monde chapitral - qui n'a rien de claustral - des chanoinesses de Lorraine et en particulier de Remiremont. Dans un allègre...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 5 octobre
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Résumé
Nous voici entraînés dans le monde chapitral - qui n'a rien de claustral - des chanoinesses de Lorraine et en particulier de Remiremont. Dans un allègre tourbillon de manteaux bordés d'hermine et à queue traînante, de croix de chevalerie bien souvent portées à la taille pour cause de décolleté, nous remontons le temps sans même nous en apercevoir tant ces femmes nous paraissent modernes. Seules femmes célibataires à pouvoir être présentées à la Cour, elles en imposaient et s'imposaient, s'en allaient de par le monde, vitrines d'un chapitre qui s'enorgueillissait d'accueillir en son sein la meilleure noblesse du royaume et même d'Europe. En ce matin du 13 août 1782, la comtesse Marie-Louise d'Arnéville, dame secrète du chapitre de Remiremont, se trouve bien embarrassée. Responsable de l'abbaye en l'absence de la princesse abbesse et de la doyenne, elle doit veiller à ce que ses compagnes chanoinesses remplissent leur devoir en assistant, mais avant l'aube, à la messe " piteuse ". La journée qui s'annonce est cependant pleine d'espoir. Avec quelques compagnes elle se rendra ensuite à Épinal où l'on fête l'arrivée du régiment de Noailles. Il s'agit là d'une journée bien ordinaire pour une chanoinesse. Et pourtant ! De ces menus faits, apparemment insignifiants dont est ponctuée la vie du chapitre, il surgira des événements inattendus qui conduiront notre chanoinesse bien loin de la Lorraine, jusqu'à Venise même, à l'aube d'un bouleversement social que l'héroïne pressent.