Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Je ne travaillais plus que rarement. Je m'attardais le soir venu sur une couleur, un feu qui pétillait dans l'âtre. J'aurais aimé que ce fussent...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
" Je ne travaillais plus que rarement. Je m'attardais le soir venu sur une couleur, un feu qui pétillait dans l'âtre. J'aurais aimé que ce fussent les remuements d'une âme en devenir. Je songeais ainsi au pourpre et au byssus. À quelques pages bien écrites. Aux paroles vaines. Je songeais encore - et c'était là, assurément, une chose folle -, je songeais, comme malgré moi, que dans le silence d'une flamme longuement observée, dans le silence de toutes ces lumières qui m'entouraient, derrière ces brasiers qui lentement se consumaient, se dressait, impassible, souverain : l'invincible. " Dans ce récit à la sensibilité tendue, Christian Birgin redonne vie à la figure du peintre Georges de La Tour et au mystère d'une œuvre hantée par le spirituel.
Christian Birgin a publié l'Ange, le sage et le rieur dans la collection " Littérature ouverte " chez Desclée de Brouwer, et la Mort de Pouchkine chez Arléa.