Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Histoire sociale et histoire de l'art ne font qu'un : c'est ce qu'après tant d'études qui ne se sont intéressées qu'à la signification propre de...
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Histoire sociale et histoire de l'art ne font qu'un : c'est ce qu'après tant d'études qui ne se sont intéressées qu'à la signification propre de l'œuvre d'art, ou à sa signification purement sociale, illustre admirablement Michael Baxandall, historien anglais, sur l'exemple de la peinture italienne de la Renaissance. A quelle demande exacte répondaient Masaccio, Filippo Lippi, Andrea del Castagno ou Fra Angelico ? De quel sens leurs œuvres étaient-elles chargées, et comment les regardaient leurs destinataires et leurs commanditaires ? C'est à ce type de questions que répond l'auteur en analysant le marché de l'art, à travers les contrats, les correspondances et les registres de comptes. En montrant aussi comment les dispositions visuelles nées de la vie quotidienne, religieuse, sociale ou commerciale de l'époque sont devenues des éléments déterminants du style du peintre. Retrouver l'œil du Quattrocento, c'est rafraîchir le nôtre.
Histoire sociale et histoire de l'art ne font qu'un : c'est ce qu'après tant d'études qui ne se sont intéressées qu'à la signification propre de l'oeuvre d'art, ou à sa signification purement sociale, illustre admirablement Michael Baxandall, historien anglais, sur l'exemple de la peinture italienne de la Renaissance. A quelle demande exacte répondaient Masaccio, Filippo Lippi, Andrea del Castagno ou Fra Angelico ? De quel sens leurs oeuvres étaient-elles chargées, et comment les regardaient leurs destinataires et leurs commanditaires ? C'est à ce type de questions que répond l'auteur en analysant le marché de l'art, à travers les contrats, les correspondances et les registres de comptes. En montrant aussi comment les dispositions visuelles nées de la vie quotidienne, religieuse, sociale ou commerciale de l'époque sont devenues des éléments déterminants du style du peintre. Retrouver l'oeil du Quattrocento, c'est rafraîchir le nôtre.
À propos de l'auteur
Biographie de Michael Baxandall
Michael Baxandall a d'abord appartenu au Warburg Institute de Londres et enseigne aujourd'hui à Berkeley. Il est l'auteur, dans la même collection, de Ombres et Lumières (1999).