Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dernière pièce d'Oscar Wilde, L'Importance d'être constant brille des feux d'un langage habité par la grâce : s'y manifestent la puissance et la...
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Résumé
Dernière pièce d'Oscar Wilde, L'Importance d'être constant brille des feux d'un langage habité par la grâce : s'y manifestent la puissance et la modernité de la réflexion de l'auteur sur la fiction, mais aussi son inventivité subversive et satirique, son esprit généreux et étincelant d'élégance et de drôlerie.
L'Importance d'être constant (1895), la dernière des quatre comédies légères d'Oscar Wilde, est probablement la pièce la plus jouée du répertoire anglais. C'est une farce joyeuse, où l'esprit de l'auteur se donne libre cours, avec ses paradoxes et son humour, mêlant l'absurde le plus échevelé à la fantaisie sentimentale la plus délicate. Jack, le personnage principal, se fait passer pour un autre, en empruntant le prénon de Constant, mais il est pris à son propre piège dans un imbroglio comique sans fin. Cette comédie est aussi une satire de la société victorienne, de son culte de l'argent, du nom, de la naissance et surtout du sérieux, de la rectitude morale qui entraîne l'hypocrisie. Wilde s'y interroge sur l'identité tout court, en précurseur du théâtre moderne dont il est déjà proche, tant il joue avec les conventions dramatiques.