En cours de chargement...
Un mystérieux virus semble développer prodigieusement l'intelligence des animaux. A travers le monde, l'épizootie se propage rapidement dans les villes, les élevages, les forêts, affolant les biologistes, les amis des animaux. et les compagnies agroalimentaires. Et si le rapport de force entre les animaux et les hommes s'inversait ? Et si les bêtes décidaient de lutter pour sauver leur peau et leur liberté ? Tout au long des années passées aux côtés de Pholle, Popof, Pépita, Gin, Béchamelle, Plume, Filou, Canelle, Marguerite et de nombreux autres chiens, chats, vaches, ânes et chèvres (ainsi que quelques poissons rouges et têtards anonymes), Jean-Baptiste de Panafieu a observé les relations que nous entretenons avec les animaux, sauvages ou domestiques, esclaves ou compagnons, biscornus ou merveilleux.
Il a publié de nombreux livres sur le monde animal, sur les élevages et sur notre histoire commune, l'évolution de l'Homme et des animaux. Aujourd'hui, il explore la suite de cette histoire, se demandant ce qui se passerait si la situation était juste un peu différente.
L'éveil
Suite à une manipulation génétique, une souris devient intelligente. Prisonnière de son laboratoire, elle s'enfuit et transmet le virus responsable de sa mutation à d'autres animaux.
Les animaux sont maintenant "éveillés". Conscients de leur situation, de leur existence et de leur place dans notre monde.
Avec leurs animaux domestiques, trois adolescents établissent un dialogue, et s'interrogent sur les conséquences d'une telle évolution.
Mais il ne suffit pas de parler. Lorsque certains animaux souhaitent simplement vivre en paix et retrouver leur habitat naturel, d'autres mettent au point des stratégies pour dominer les humains. Sans compter que les entreprises qui vivent de la vente de viande ne comptent pas rester inactifs et ont bien l'intention de lutter contre cet éveil qui menace leurs bénéfices.
Un roman "futuriste" très proche de nous, qui sensibilise à la cause animale ainsi qu'aux difficultés que l'on rencontrerait à repenser notre société, notre façon de consommer...