Henry Skrimshander, 17 ans et demi, originaire de Lankton, Dakota du Sud, est né pour être une star du baseball : aucune balle ne lui résiste. « Il ne se déplaçait pas plus vite qu’un autre arrêt-court, mais il arrivait toujours à temps, en parfaite position de réception, comme s’il savait d’avance où allait arriver la frappe. Comme si le temps ne s’écoulait pas à la même vitesse pour lui ». (pp. 14-15) Lorsque Schwartz, capitaine de l’équipe universitaire de Westish (Wisconsin) le découvre à l’occasion du tournoi de Peoria, Henry se voit offrir une réelle opportunité
de réaliser son rêve, jusqu’au jour où, ratant un lancer facile (trop facile?), son destin va être remis en question. Le sien mais aussi celui d’un de ses coéquipiers, du capitaine de l’équipe, du président de l’université et sa fille.
Ce premier roman de Chad Harbach est accrocheur. Construit selon un style « à l’américaine » mêlant esprit d’équipe, ambition, dépassement de soi, « L’art du jeu » ne se cantonne pas à nous plonger dans le monde du baseball, véritable religion aux Etats-Unis. Il nous parle d’amitiés, d’amour, d’homosexualité, nous présentant les personnages à travers leurs qualités mais surtout leurs faiblesses, leurs échecs, leurs désillusions. Et Chad Harbach sait certainement y faire !
Roman intense à l’image d’une compétition sportive de haut niveau, j’ai été profondément touchée par cette lecture. Difficile de lâcher ce « petit » pavé de presque 700 pages tant l’auteur nous emporte au plus profond de cette aventure humaine nous révélant des personnages humains et attachants.
Peu importe que vous soyez incollables ou non sur les règles du baseball (j’avoue ne pas y comprendre grand-chose moi-même), « L’art du jeu » ne serait vous laisser indifférent. Un premier roman à découvrir de toute urgence !
Un premier roman captivant
Henry Skrimshander, 17 ans et demi, originaire de Lankton, Dakota du Sud, est né pour être une star du baseball : aucune balle ne lui résiste. « Il ne se déplaçait pas plus vite qu’un autre arrêt-court, mais il arrivait toujours à temps, en parfaite position de réception, comme s’il savait d’avance où allait arriver la frappe. Comme si le temps ne s’écoulait pas à la même vitesse pour lui ». (pp. 14-15) Lorsque Schwartz, capitaine de l’équipe universitaire de Westish (Wisconsin) le découvre à l’occasion du tournoi de Peoria, Henry se voit offrir une réelle opportunité de réaliser son rêve, jusqu’au jour où, ratant un lancer facile (trop facile?), son destin va être remis en question. Le sien mais aussi celui d’un de ses coéquipiers, du capitaine de l’équipe, du président de l’université et sa fille.
Ce premier roman de Chad Harbach est accrocheur. Construit selon un style « à l’américaine » mêlant esprit d’équipe, ambition, dépassement de soi, « L’art du jeu » ne se cantonne pas à nous plonger dans le monde du baseball, véritable religion aux Etats-Unis. Il nous parle d’amitiés, d’amour, d’homosexualité, nous présentant les personnages à travers leurs qualités mais surtout leurs faiblesses, leurs échecs, leurs désillusions. Et Chad Harbach sait certainement y faire !
Roman intense à l’image d’une compétition sportive de haut niveau, j’ai été profondément touchée par cette lecture. Difficile de lâcher ce « petit » pavé de presque 700 pages tant l’auteur nous emporte au plus profond de cette aventure humaine nous révélant des personnages humains et attachants.
Peu importe que vous soyez incollables ou non sur les règles du baseball (j’avoue ne pas y comprendre grand-chose moi-même), « L’art du jeu » ne serait vous laisser indifférent. Un premier roman à découvrir de toute urgence !