Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet ouvrage, publié en 1952 à quelques centaines d'exemplaires seulement, et dû au plus grand claveciniste actuel, a connu une fortune singulière...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 8 octobre
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Résumé
Cet ouvrage, publié en 1952 à quelques centaines d'exemplaires seulement, et dû au plus grand claveciniste actuel, a connu une fortune singulière : son tirage confidentiel lui a interdit une diffusion normale ; mais l'extrême clarté de la pensée qui s'y exprime, l'estime mondiale dont jouit son auteur, et l'audace intellectuelle qui sous-tend la thèse défendue lui ont conféré une gloire réservée aux best-sellers... A tel point que ce petit livre, tous les amateurs l'ont vu cité quelque part, dans les bibliographies de l'auteur, les études les plus savantes, mais ne l'avaient pas lu ! Le voici enfin, en traduction française.
L'Art de la fugue est-il cette œuvre abstraite que l'on disait ? Est-il uniquement œuvre de l'esprit ? Non, répond Gustav Leonhardt. C'est une œuvre destinée à être jouée et, plus précisément, à être jouée au clavecin ! Un pavé dans la mare musicologique... Car les preuves ne manquent pas.