Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le Cantique des Cantiques a toujours attiré les plus grands esprits du monde chrétien. Robert de Langeac ne fait pas exception. Son premier Commentaire...
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Le Cantique des Cantiques a toujours attiré les plus grands esprits du monde chrétien. Robert de Langeac ne fait pas exception. Son premier Commentaire du Cantique des Cantiques, paru sous le titre de Virgo Fidelis, est publié en 1931 par Lethielleux. Un court traité, Conseils aux âmes d'oraison, et une méditation sur le Chemin de la Croix qui accompagnent le commentaire seront réédités séparément. C'est un assez beau succès de librairie, mais qui ne dure pas. Après la guerre, le nom même de Robert de Langeac est oublié. Ses œuvres languissent sur les rayons poussiéreux des bibliothèques. Il faudra attendre un demi-siècle pour qu'un prêtre, Monsieur l'abbé Jean Rémy, redécouvre les textes oubliés et les fasse paraître à nouveau. Ce second commentaire, inédit à ce jour, révèle la même maturité spirituelle que le premier, mais le texte des interprétations qu'il donne de chaque verset du poème est généralement plus court et semble être rédigé d'une manière plus pédagogique, comme si, cette fois, l'auteur avait un public en vue. Comme si Robert de Langeac (de son vrai nom le Père Augustin Delage), répondait alors au souhait que lui formulait le célèbre théologien Garrigou-Lagrange : " le bien des âmes l'emporte plus que votre désir d'effacement ".