Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il y aura bientôt trente ans que j'ai eu la première intuition dont je livre ici la teneur et le texte : l'existence
insoupçonnée, l'émouvante survie...
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Résumé
Il y aura bientôt trente ans que j'ai eu la première intuition dont je livre ici la teneur et le texte : l'existence
insoupçonnée, l'émouvante survie jusqu'à nous d'un
inédit remarquable de Voltaire. La muse Postérité, dans cette rencontre, aura été plus que favorable et généreuse : magnifique. Il ne s'agissait pas d'un petit écrit de circonstance, d'une facétie d'humeur, de rogatons comme on en retrouvera toujours, sortis de la plume irritable d'un auteur prolixe, mais d'une œuvre méditée et composée, d'un projet singulier, d'une forme inouïe, et d'un texte du meilleur Voltaire : de bonne époque (entre cour et jardin, juste avant les Mémoires et Candide), de main brillante et sûre (on en jugera), d'intense passion (la liberté, l'amour, le défi, la revanche), d'intérêt vital enfin, après la grande crise qui en avait provoqué le sursaut - se relever, se reconnaître, s'inventer un avenir dans le désastre des dernières illusions.
André Magnan est professeur émérite (Paris X - Nanterre) et président de la Société Voltaire. Il prépare une édition des lettres de Voltaire à la comtesse de Bentinck et deux recueils de lettres à Madame Denis.