Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'interprétation de la critique kantienne de la métaphysique spéculative souffre encore de simplifications et d'analyses trop étroites qu'une étude...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
L'interprétation de la critique kantienne de la métaphysique spéculative souffre encore de simplifications et d'analyses trop étroites qu'une étude systématique permet de mettre au jour. Critiquer la métaphysique, c'est procéder à ce que Kant, dans une Réflexion des années 1770, appelle la " réflexion sur la métaphysique ", et réfléchir sur la métaphysique, c'est d'abord la définir, ensuite prendre une décision à son sujet, et enfin s'interroger sur le statut d'une telle réflexion, sur la possibilité d'une " métaphysique de la métaphysique ".
La définition kantienne de la métaphysique spéculative exige l'analyse détaillée de ses sources, des ses rapports avec la mathématique, de son architectonique et de ses objets, dont l'objet non-empirique au sens transcendantal. La décision kantienne à l'égard de cette métaphysique exige qu'on montre dans le détail pourquoi Kant n'est pas un destructeur de la métaphysique et de dogmatisme antimétaphysique. Quant au statut de la réflexion sur la métaphysique, on doit se demander comment Kant conçoit et justifie une critique de la raison pure par elle-même.