Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le geste de Jean-Paul II déposant un message dans le "Mur des Lamentations" à Jérusalem, en mars 2000, symbolise un tournant dans le dialogue judéo-chrétien....
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Livré chez vous entre le 3 octobre et le 12 octobre
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Résumé
Le geste de Jean-Paul II déposant un message dans le "Mur des Lamentations" à Jérusalem, en mars 2000, symbolise un tournant dans le dialogue judéo-chrétien. Après des siècles de mépris, l'heure n'est-elle pas venue de faire du neuf ? Au-delà du respect mutuel, juifs et chrétiens n'ont-ils pas à débattre de leurs différences, de leurs divergences et de leurs convergences ? Théologienne catholique ayant vécu et étudié à la Judaism Conservative University de New-York, Geneviève Comeau introduit ici une perspective nouvelle dans les relations entre judaïsme et christianisme. Il ne s'agit plus seulement, perspective désormais classique, de reprendre une histoire bimillénaire où l'Eglise, passe de " l'enseignement du mépris " à " l'enseignement de l'estime ". Tout en faisant droit à cette dimension importante, le livre va plus loin. Car un nouveau débat est en train de s'ouvrir, entre juifs et chrétiens, sur les questions fondamentales qui à la fois les rapprochent et les séparent: le messianisme, le rapport à la Loi, aux Ecritures, la relation au monde, à la sexualité, à la nourriture... Dans un style clair et simple, cet ouvrage propose une réflexion qui ouvre d'autres horizons de débats entre juifs et chrétiens. Forte d'une expérience personnelle de rencontre du judaïsme, une théologienne propose une réponse à une question dérangeante mais essentielle : si Jésus était juif, où se trouve la nouveauté du christianisme ?