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Jésus. Le rabbin qui aimait les femmes est un bon livre d’histoire et de théologie qui a échappé à pratiquement tous les informateurs religieux français. Partageant avec aisance pour le grand public (mais pas seulement) ce que l’on sait de Jésus et de son époque, l’ancien moine bénédictin et consultant Didier Long a réussi l’exploit d’expliquer les termes du débat contemporain autour de la judaïcité de Jésus. Il met en avant ce qui pour lui est la plus importante originalité de Jésus et même le signe messianique distinctif : ses rapport libres et aimants avec les femmes,
égales aux hommes.
Voici un chrétien qui sait partager de sa culture sans jamais tomber dans le vulgaire, ni dans l’identitaire. Résultat : c’est intéressant pour nous tous, que l’on soit théologiquement « libéral », « conservateur » ou simplement un chercheur de sens. Certaines idées - et certains faits ! - vont choquer des lecteurs chrétiens, notamment la proximité théologique entre Jésus et les pharisiens. De même, certains d'entre nous n'aimerons pas que Didier Long insiste sur un Jésus bien ancré dans les traditions culturelles - très populaires - de sa Galilée. Plus généralement, voici un Jésus situé dans le monde juif. Pour Long, les évangiles, sorte de midrash « chrétiens », sont surtout les résultats des traditions orales. Et puis on apprend l’importance – unique parmi les rabbins de l’époque - que Jésus accordait aux femmes. Libérées de toute impureté et d’infériorité, elles valent en effet autant que les hommes. D’où une grande partie du message proprement révolutionnaire du christianisme. Pour toutes ces raisons, ce livre est tout simplement excellent.
"Tout simplement excellent"- Henrik Lindell (Témoignage chrétien)
Jésus. Le rabbin qui aimait les femmes est un bon livre d’histoire et de théologie qui a échappé à pratiquement tous les informateurs religieux français. Partageant avec aisance pour le grand public (mais pas seulement) ce que l’on sait de Jésus et de son époque, l’ancien moine bénédictin et consultant Didier Long a réussi l’exploit d’expliquer les termes du débat contemporain autour de la judaïcité de Jésus. Il met en avant ce qui pour lui est la plus importante originalité de Jésus et même le signe messianique distinctif : ses rapport libres et aimants avec les femmes, égales aux hommes.
Voici un chrétien qui sait partager de sa culture sans jamais tomber dans le vulgaire, ni dans l’identitaire. Résultat : c’est intéressant pour nous tous, que l’on soit théologiquement « libéral », « conservateur » ou simplement un chercheur de sens. Certaines idées - et certains faits ! - vont choquer des lecteurs chrétiens, notamment la proximité théologique entre Jésus et les pharisiens. De même, certains d'entre nous n'aimerons pas que Didier Long insiste sur un Jésus bien ancré dans les traditions culturelles - très populaires - de sa Galilée. Plus généralement, voici un Jésus situé dans le monde juif. Pour Long, les évangiles, sorte de midrash « chrétiens », sont surtout les résultats des traditions orales. Et puis on apprend l’importance – unique parmi les rabbins de l’époque - que Jésus accordait aux femmes. Libérées de toute impureté et d’infériorité, elles valent en effet autant que les hommes. D’où une grande partie du message proprement révolutionnaire du christianisme. Pour toutes ces raisons, ce livre est tout simplement excellent.