Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" L'analyse de la logique, comprise au sens large de doctrine de la science (Wissenschaftslehre), vise à en fixer les limites et à clarifier ses rapports...
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Résumé
" L'analyse de la logique, comprise au sens large de doctrine de la science (Wissenschaftslehre), vise à en fixer les limites et à clarifier ses rapports avec la psychologie, la mathématique et la métaphysique. Par là se dégage tout d'abord le concept de logique formelle ou mathesis universalis. Mais la question logique se radicalise ensuite et s'élargit de plus en plus, au point d'impliquer l'ensemble de la recherche phénoménologique (notamment l'analyse du temps, de la conscience) dans le projet fondamental d'une critique de la raison exigeant de passer de la connaissance naturelle à la philosophie phénoménologico-transcendantale. La méthode de réduction qui permet ce passage est requise pour répondre à une interrogation métaphysique sur le sens et la possibilité d'une connaissance absolue, d'une connaissance qui atteigne effectivement un être transcendant. Situées à peu près à mi-distance entre la publication des Recherches logiques (1900-1901) et celle des Idées directrices (1913), ces leçons appartiennent à une période décisive durant laquelle Husserl publie très peu, mais où se détermine le sens et la finalité de la phénoménologie : de psychologie descriptive métaphysiquement neutre, celle-ci devient progressivement une philosophie transcendantale. Le cours de 1906-1907 ne marque pas simplement une étape dans cette évolution, il la thématise et la justifie en montrant l'impossibilité, pour la théorie de la connaissance, d'en rester au niveau de la connaissance naturelle, même logico-mathématique, sous peine de ne pouvoir lever l'hypothèque du scepticisme et du relativisme.