Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Une intrigue multiple (et pourtant une) consumée par un suspense de chaque phrase (de chaque mot) offre au lecteur en pâture et à foison de l'action...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
Une intrigue multiple (et pourtant une) consumée par un suspense de chaque phrase (de chaque mot) offre au lecteur en pâture et à foison de l'action (" J'entendis alors une détonation sèche, pas très forte, et une petite parcelle de carrosserie vola en éclats tout près de ma tête : quelqu'un venait de me tirer dessus avec une arme à feu, j'en eus la certitude immédiate "), du mystère (" Personne ne l'a approchée. Elle a disparu, elle était là et l'instant d'après elle n'était plus là. Croyez-moi, je vous dis ce que j'ai vu, elle n'était plus là "), du sexe (" A cette fantasmagorie d'Irène se laisse aisément rattacher l'envie qu'elle eut alors que j'inondasse ses jolis seins de ma vénérienne expatriation "), du dépaysement (" Il survolait les paysages roses et rouges de Nomen, la planète-geôlière, proie d'une tourmente immobile qui tenait la végétation courbée et figeait la mer écarlate et ses courants noirs, et où régnait un jour perpétuel "), diverses considérations sur le sens de la vie (" On ne sait jamais ce que le passé nous réserve "), l'amitié complice du narrateur (" La place de livraisons était libre, tentante, je m'y mis (oui, je m'y mis, je verrai plus tard si je conserve ce "m'y mis"; là maintenant je suis trop agité par ce que je vais raconter pour m'arrêter et réfléchir "), du sexe encore (Le lit à une place, ch. 19), en un mot on peut faire confiance à Luis Archer (le narrateur) lorsqu'il affirme cinq lignes avant la fin de son incroyable aventure : "Je pense avoir tout dit ".
Une intrigue multiple (et pourtant une) consumée par un suspense de chaque phrase (de chaque mot) offre au lecteur en pâture et à foison de l'action, du mystère, du sexe, du dépaysement, diverses considérations sur le sens de la vie, l'amitié complice du narrateur, du sexe encore...