Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le présent volume prend place dans la série Histoire de la littérature française précédemment éditée chez Nathan sous la direction de Jean Rohou...
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Livré chez vous entre le 11 octobre et le 25 octobre
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Résumé
Le présent volume prend place dans la série Histoire de la littérature française précédemment éditée chez Nathan sous la direction de Jean Rohou et il est animé de la même ambition. Il a voulu donner au XVIIIe siècle ses véritables dimensions . celles d'un siècle tout entier, de 1700 à 1799, englobant la fin du règne de Louis XIV et les dix années de la Révolution française. Ainsi le phénomène des Lumières n'est certes pas minimisé, mais il n'est plus strictement focalisé sur le milieu du XVIII siècle. Dans son éclat, ce siècle ne peut être compris qu'en sa totalité diverse et contradictoire où la littérature ne saurait être isolée des autres modes de création, ni la France de l'Europe. L'analyse littéraire fait ici largement appel à l'histoire des arts plastiques et de la musique. Diderot est critique d'art, Voltaire écrit des livrets d'opéra pour Rameau. Faut-il d'ailleurs ramener exclusivement ce siècle à la lutte des Lumières contre les ténèbres de la superstition ? Sans vouloir réduire les tensions réelles et fécondes de cette période, on s'est efforcé d'y montrer la complexité des courants de pensée et leur circulation entre les Philosophes et leurs adversaires. On n'a pas oublié non plus la dimension proprement ludique de cette époque : même si la littérature et les arts peuvent être mobilisés pour le combat, ils sont conçus pour le plaisir du public. Le XVIIIe siècle est, du moins pour les privilégiés, celui de la fête et du spectacle. La Révolution abolit les privilèges, mais sacralise la Fête.