Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce second tome d'une Histoire ancienne du linceul de Turin ne fait pas exactement suite au premier, paru en 1986. Il revient en arrière pour traiter...
Lire la suite
Ce second tome d'une Histoire ancienne du linceul de Turin ne fait pas exactement suite au premier, paru en 1986. Il revient en arrière pour traiter d'un document nouvellement découvert: une homélie prononcée lors du transfert, à Constantinople, de l'image d'Edesse. Et il poursuit jusqu'en 1350 environ, date de l'apparition du linceul à Lirey. Selon une voie déjà proposée par quelques auteurs, il explique, par un don du roi Philippe VI de Valois, la possession de la relique par Geoffroy de Charny. Il rend le fait plausible grâce à un ensemble cohérent de documents, déjà découverts et publiés par divers chercheurs, mais qui n'avaient pas encore été organisés en une suite sans faille. L'auteur ne critique pas systématiquement et toujours des exposés historiques différents du sien, mais il s'efforce de présenter clairement les données qu'il utilise et d'en indiquer la source pour qu'un contrôle soit possible. Différentes réflexions sur la recherche historique sont inspirées de son expérience. Une seconde partie est constituée par une étude d'Hilda Leynen, prématurément disparue en août 1997. Elle reproduit un document connu depuis longtemps, mais n'ayant pas encore bénéficié d'une publication intégrale en français: une notice rédigée vers 1525 par les chanoines de l'église collégiale de Lirey. La double mention des noms d'auteurs sur la couverture manifeste une collaboration fructueuse de plusieurs années, à laquelle est redevable l'itinéraire de la relique exposé ici. Cet itinéraire n'est pas, par lui-même, une preuve d'authenticité de la relique. Car il comporte une faille. L'arrivée à Edesse de l'image du Christ n'est attestée, pour le moment, que par des légendes relatives à Abgar, un contemporain du Christ. Arrivera-t-on un jour à plus de certitude ? Toutefois, il n'est pas indifférent de pouvoir repérer la présence d'un même objet pendant près d'un millénaire.
Sommaire
Préliminaires
L'image d'Edesse dans l'homélie de Grégoire le référendaire