Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Du premier recueil paru sous le titre Seul l'amour suffirait à celui-ci, l'origine des homélies est identique : chacune d'elles a été rédigée à...
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Du premier recueil paru sous le titre Seul l'amour suffirait à celui-ci, l'origine des homélies est identique : chacune d'elles a été rédigée à l'intention d'un auditoire de moines auquel à coutume de se joindre chaque dimanche une assemblée de laïcs.
Ces textes se font l'écho d'un parcours intérieur, propre à des contemplatifs, et ils traitent moins directement des diverses questions de ce temps qui ne manquent pas d'interpeller une Eglise irréductiblement présente au monde.
A scruter patiemment dimanche après dimanche les secrets de l'Evangile, l'on doit nécessairement finir par toucher ce qui fait l'expérience de toute existence chrétienne. On ne tarde pas à prendre conscience de ce qui constitue la quintessence de toute foi authentique, de la seule lumière qui puisse nous éclairer tout au long de son chemin : L'amour de Dieu nous préfère entièrement pauvres et dépouillés, avant de nous combler de ses dons et de sa joie.
De là le titre sous lequel ont été regroupés ces textes. Il transcrit l'une des intuitions évangéliques les plus fulgurantes de saint Bernard : Heureuse, bienheureuse faiblesse !
Ceux qui pratiqueront ce recueil d'homélies (année B) pourront très vite vérifier que la parole de Dieu n'a rien perdu de sa force de frappe; on le doit d'abord à l'auteur de ces commentaires brefs, originaux et toujours enrichissants.