Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
On a tenu des congrès sur l'Eau au plan international comme au plan national dès la fin du XIXe siècle. Tous insistaient sur le rôle de la forêt...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 26 septembre
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Résumé
On a tenu des congrès sur l'Eau au plan international comme au plan national dès la fin du XIXe siècle. Tous insistaient sur le rôle de la forêt dans la lutte contre l'érosion et la régularisation des climats. C'était le signe d'une mobilisation sans précédent, car l'opinion publique avait été sensible aux calamités météorologiques, celles des Etats-Unis, avec les grands froids des années 1880, et celles des inondations en Europe dont la facture restait à payer. Depuis lors, les travaux des spécialistes ont nuancé les conclusions hâtives qu'on prononça alors et l'on avança des hypothèses nouvelles, mais non moins pessimistes. En la matière, peu importait que les travaux relèvent des sciences de l'Homme ou de la Terre. Qu'en est-il aujourd'hui de notre connaissance des phénomènes anciens et actuels ? Sommes-nous moins ou plus catastrophistes que nos ancêtres ? En effet, voilà longtemps qu'on associe " Eau et Arbre " : on sait qu'un grand ligneux a besoin, pour survivre et prospérer, de mobiliser les réserves hydriques du sol et que ses exigences varient selon l'espèce, la station, la saison ; on sait aussi que ces données changent quand l'arbre n'est pas isolé, mais immergé dans une société d'arbres où interfèrent faune et flore. Cela conditionnait les plantations et les reboisements. Pourtant, on eut du mal à en prendre conscience. Or ces plantations, ces reboisements, on les faisait pour lutter contre les conséquences des inondations, tel le ravinement des sols, la destruction des maisons, la ruine des villages de haute montagne. Dans la période retenue, XIIIe-XXIe siècle, l'ouvrage privilégie sept axes : 1. Protéger et valoriser les zones humides 2. Conserver et améliorer la qualité de l'eau 3. Employer l'eau pour éteindre et prévenir les incendies 4. Connaître les exigences en eau des essences forestières 5. Réduire les ravages de l'eau sur les pentes et dans la plaine 6. Évacuer les excédents d'eau en forêts trop humides ou/et submersibles 7. Exploiter la force et la hauteur de l'eau pour assurer le transport des bois