Ca fait un moment que je veux lire ce livre, parce que j'ai tout de suite senti que ces mots d'hommes toucheraient mon coeur de femme, mais aussi parce que je voulais être sûre que l'amour maternel et l'amour paternel étaient identiques. Sept écrivains parlent de la parternité dans ce roman mais je n'en ai lu que trois, ceux dont j'avais déjà lu au moins un roman: Philippe Claudel, Olivier Adam et Philippe Delerm. Il me restera à découvrir Patrick Besson, Jen-Yves Cendrey, Thierry Consigny et Boualem Sansal.
Olivier Adam se penche sur la difficulté des premiers instants quand on devient
parent d'une enfant dont la vie ne tient qu'à un fil: partager la détresse de sa compagne, voir cette enfant et espérer de toutes ses forces qu'elle soit assez forte pour vivre. Le texte de Philippe Claudel a été pour moi éprouvant car il reflétait trop mes angoisses. Je l'ai fini les yeux tous rouges,très émue, alors même que je devais aller chercher ma fille à l'école. Il parle de ce temps qui passe si vite qu'on essaie d'en profiter mais finalement, on sait bien que ce lien tissé à l'enfance ne sera plus tout à fait le même quand l'enfant aura grandi. Et puis, ô bonheur, le livre finit par le texte de Philippe Delerm, ce papa un peu collant désormais si fier de son fils, pas de sa réussite mais de ce qu'il est, tout simplement. Un texte là encore très émouvant mais si optimiste que j'ai fini ce roman avec du baume au coeur. Alors, je le confirme, il n'y pas de différence entre le coeur d'un père et celui d'une mère. Je fais mienne de nombreuses phrases de ce livre.
Inégal
Ca fait un moment que je veux lire ce livre, parce que j'ai tout de suite senti que ces mots d'hommes toucheraient mon coeur de femme, mais aussi parce que je voulais être sûre que l'amour maternel et l'amour paternel étaient identiques. Sept écrivains parlent de la parternité dans ce roman mais je n'en ai lu que trois, ceux dont j'avais déjà lu au moins un roman: Philippe Claudel, Olivier Adam et Philippe Delerm. Il me restera à découvrir Patrick Besson, Jen-Yves Cendrey, Thierry Consigny et Boualem Sansal.
Olivier Adam se penche sur la difficulté des premiers instants quand on devient parent d'une enfant dont la vie ne tient qu'à un fil: partager la détresse de sa compagne, voir cette enfant et espérer de toutes ses forces qu'elle soit assez forte pour vivre. Le texte de Philippe Claudel a été pour moi éprouvant car il reflétait trop mes angoisses. Je l'ai fini les yeux tous rouges,très émue, alors même que je devais aller chercher ma fille à l'école. Il parle de ce temps qui passe si vite qu'on essaie d'en profiter mais finalement, on sait bien que ce lien tissé à l'enfance ne sera plus tout à fait le même quand l'enfant aura grandi. Et puis, ô bonheur, le livre finit par le texte de Philippe Delerm, ce papa un peu collant désormais si fier de son fils, pas de sa réussite mais de ce qu'il est, tout simplement. Un texte là encore très émouvant mais si optimiste que j'ai fini ce roman avec du baume au coeur. Alors, je le confirme, il n'y pas de différence entre le coeur d'un père et celui d'une mère. Je fais mienne de nombreuses phrases de ce livre.