Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis l'époque biblique jusqu'au début du siècle, la ville de Jérusalem a toujours été, dans la littérature hébraïque, un symbole, un synonyme...
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Depuis l'époque biblique jusqu'au début du siècle, la ville de Jérusalem a toujours été, dans la littérature hébraïque, un symbole, un synonyme du peuple et de la Loi d'Israël. Dans les romans contemporains, elle change radicalement de visage et devient un lieu concret, une ville réelle, traversée par le quotidien, des histoires, des faits divers, des émotions. Cinq auteurs parlent ici de leur Jérusalem : Haïm Be'er évoque la vie de sa grand-mère et les trajectoires d'une famille juive établie dans la ville depuis des générations. (Traduction d'Arlette Pierrot). Haïm Gouri raconte sa propre vie qui se confond avec elle de l'Etat d'Israël et de sa capitale. (Traduction d'Arlette Pierrot). David Shahar décrit l'enterrement de sa mère au Mont des Oliviers dans un contexte politique qui évoque celui du mandat britannique. (Traduction de Madeleine Neige). David Schütz nous entraîne dans une Jérusalem apocalyptique, une ville qui s'écroule sous le poids de son passé et où la fin du temps devient la fin du monde... (Traduction de Flore Abergel). Pour compléter ces regards nous avons emprunté au plus grand des écrivains d'Israël, Shmuel Yosef Agnon, mort en 1970, quelques passages de son dernier roman, Shirah, inédit en français. (Traduction de Michel Garel).